Pour Audrey Pulvar, les personnes blanches peuvent participer aux réunions « non-mixtes » mais doivent se taire
Avec ses propos intolérables que je condamne sans détour, Madame PULVAR prouve une nouvelle fois qu’il existe bien un racisme anti-blanc totalement décomplexé et assumé par une gauche clientéliste et communautariste.
Il est déplorable qu’elle n’en subisse aucune conséquence !
Comment une tête de liste régionale peut-elle tenir de tels propos sans la moindre conséquence et sans réaction de la part de ses soutiens ?
Imaginons un seul instant la situation inverse où un élu organiserait des réunions « réservées aux blancs ». Le tollé serait énorme, le désaveu puissant et la sanction immédiate.
Non, cette date n’a jamais signifié la fin des combats en Algérie mais le début de l'abandon.
Celui des pieds-noirs, des Harkis et de nos anciens combattants tragiques victimes ou condamnés à l’exil pour leur survie au lendemain des funestes accords d’Évian.
À Oran, rue d'Isly et en tant d'autres lieux de sinistre mémoire les massacres se sont poursuivis longtemps après le 19 mars 1962.
Presque 60 ans plus tard, Emmanuel Macron continue de donner des gages de repentance perpétuelle au régime algérien.
Après avoir comparé la colonisation à un crime contre l’humanité, reconnu la culpabilité de L’État français dans la mort de Maurice Audin et d’Ali Boumendjel, s'être recueilli au mémorial du FLN à Alger, il vient de décider la levée du « Secret – Défense » sur les archives de la guerre.
Comment le Chef de l’État peut-il encore prétendre rechercher l'apaisement des mémoires sans jamais avoir un seul mot de compassion au regard des souffrances endurées par les Pieds-noirs, les Harkis et nos anciens combattants ?
Napoléon Bonaparte incarne la grandeur de la France et il est impensable que certains osent aujourd’hui remettre en cause la célébration de son bicentenaire.
N’oublions jamais que nous lui devons notre organisation territoriale, notre Code civil, la légion d’honneur, le baccalauréat et tant d’autres institutions qui ont façonné la France.
Le déplorable cortège de « bien-pensants » qui remet en cause cet héritage historique tombe une nouvelle fois dans le piège des séparatistes qui veulent fragmenter notre société et miner les fondements de notre Nation.
Comment pourrions-nous parvenir à faire aimer la France aux personnes qui l’ont rejointe quand certains instrumentalisent matin, midi et soir la haine de son histoire.
Aujourd’hui à l’Assemblée nationale, dans la fidélité à mes convictions, j’ai voté contre le Projet de loi du Gouvernement visant « à conforter les principes républicains »
Ce Texte devait être la mise en application du discours que le Chef de l’État avait prononcé en octobre dernier aux Mureaux contre le séparatisme islamiste, mais il ne s’agit en réalité que « d’affichage ».
Après l’assassinat barbare de Samuel Paty suivi du terrible attentat de la basilique Notre-Dame de Nice, nous espérions enfin une réaction à la hauteur. Malheureusement, notre déception est grande.
Ce Texte compte quelques avancées, mais il est surtout marqué par le sceau du renoncement.
Après le discours des Mureaux, ce Texte de Loi qui était censé incarner la lutte contre le séparatisme islamiste est frappé du sceau du renoncement…
Le premier d’entre eux c’est que le mot « séparatisme » a été retiré du titre du Projet de loi. Le Gouvernement a ainsi eu peur de désigner l’ennemi et il a oublié une fois de trop que « mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du Monde » comme en jugeait Albert Camus.
Le deuxième renoncement, c’est le manque de courage pour s’attaquer aux racines de l’islamisme politique. Comment est-il possible que ce Texte ne parle pas de l’immigration hors de contrôle, des prières dans les lieux de services publics ou de la radicalisation dans les prisons qui sont pourtant le terreau fertile de cette idéologie mortifère ?
Le troisième renoncement, c'est envers notre jeunesse. Signe de faiblesse, la majorité présidentielle a rejeté mon amendement visant à interdire le port du voile et de signes religieux lors de sorties scolaires. Elle a refusé aussi de parler des Universités où le défi à relever est immense.
Michèle TABAROT vient une nouvelle fois d’alerter le Ministre de la Santé face aux difficultés rencontrées sur le terrain dans la mise en œuvre de la campagne de vaccination faute d’approvisionnements suffisants en doses de vaccin.
Depuis le début de la pandémie, les collectivités locales ont pris plus que leur part à l'effort de soutien à nos concitoyens pour veiller au respect des règles édictées pour contenir l'épidémie, fournir des équipements de protection à la population, mettre en place des protocoles sanitaires dans les bâtiments publics parmi lesquels les crèches et les écoles, renforcer la solidarité notamment auprès des personnes fragiles et des séniors ou encore pour accompagner les entreprises frappées par la crise économique.
Dans la continuité de ces engagements et face aux grandes difficultés rencontrées par l'État dans le déploiement de la stratégie vaccinale, de nombreuses communes ont souhaité mettre en place des centres de vaccination.