En cette « Journée internationale des droits des femmes », nos pensées vont à toutes celles qui sont injustement réprimées en Iran, en Afghanistan et ailleurs, et qui se battent chaque jour avec courage et dignité pour leur émancipation et leur liberté.
Un combat vital pour l’égalité sans idéologie ni arrière-pensée qui doit tous nous inspirer
Bruno Le Maire est bien le seul à penser qu’il n’y a pas de mois « mars rouge »
Bruno Le Maire est bien le seul à penser qu’il n’y a pas de mois « mars rouge ». La période est terrible pour nos concitoyens entre inflation et hausse du coût de l’énergie. La politique du chèque du Gouvernement n’est pas à la hauteur de la gravité de la situation.
Avec cent trente de mes collègues Parlementaires, nous lançons dans une lettre ouverte adressée au chef de l’État un appel au sursaut et à l’action pour sauver nos petites églises de la destruction et protéger ce patrimoine plurimillénaire qui fonde notre identité et l’âme de la France.
« Le véritable exil n’est pas d’être arraché de son pays, c’est d’y vivre et de n’y plus rien trouver de ce qui le faisait aimer. ». Qui aurait pu croire qu’en 2023 ces mots d’Edgar Quinet résonneraient avec tant de justesse ? Peu à peu la France change, se transforme et nous tendons à ne plus reconnaître ce qui a fait son charme, sa beauté exceptionnelle, son âme, tout simplement.
Oui, Monsieur le Président, nos petites églises rurales sont l’âme de la France. Elles sont pour celui qui parcourt les terres et les mers un point de repère précieux qui révèle la présence d’un village. Souvent autour d’elles, le centre-bourg s’organise, le commerce et la vie de la cité se déploient. Tandis que notre époque est lancée dans une course éperdue contre le temps, nos églises continuent imperturbablement de scander la réalité des heures.
Pour les anciens comme pour les plus jeunes, l'église constitue la mémoire du village, le souvenir de la guerre et des manifestations heureuses.
Élus et militants s'étaient donné rendez-vous très nombreux devant la permanence de Michèle TABAROT pour échanger avec leur Député de la Neuvième circonscription.
C’est toujours un réel plaisir de vous retrouver chers amis au cœur de notre circonscription à Pégomas pour ces moments d’échanges et de partage auxquels je tiens particulièrement.
Heureuse de pouvoir compter sur votre soutien déterminant qui me donne tant de force pour continuer à défendre nos valeurs et notre magnifique territoire à l’Assemblée nationale.
De gauche à droite :Christophe Ulivieri, 1er Adjoint au Maire de Mougins ; Michèle Olivier, Conseillère départementale ; Yves Pigrenet, Maire du Cannet ; Richard Galy, Conseiller régional et Maire de Mougins ; Christian Ortega, Maire de la Roquette-sur-Siagne ; Florence Simon, Maire de Pégomas ; Michèle Tabarot, Député des Alpes-Maritimes et Présidente de la majorité municipale du Cannet ; Jean-Marc Macario, Maire de Spéracèdes ; Philippe Tabarot, Sénateur des Alpes-Maritimes ; Michèle Paganin, Maire d'Auribeau-sur-Siagne et Vice-Présidente du Conseil départemental ; Christophe Chalier, Conseiller municipal de Mouans-Sartoux ; Didier Carrétéro, Conseiller départemental.
Un moment très attendu aujourd'hui (ndlr : le 10 février au siège de la Communauté d'Agglomération du Pays de Grasse) avec la restitution du rapport d'étude aux élus et aux associations par le bureau d'experts que nous avons missionné en juin dernier avec comme objectif de formuler des préconisations visant à réduire l'impact des nuisances causées par l'aéroport de Cannes/Mandelieu sur le cadre de vie des riverains concernés.
Cette étude indépendante prouve bien que de donner la priorité aux approches par la mer plutôt qu'au survol des terres est possible !
A l'image de ce nous défendons depuis de nombreuses années, les conclusions de cette étude indépendante montrent bien que de donner la priorité aux approches par la mer plutôt qu'au survol des terres est tout à fait envisageable d'un point de vue technique.
Forts de cette étude, nous allons rapidement poursuivre le travail avec l'aéroport et les services de l'État pour réclamer des engagements clairs de la plateforme et parvenir ainsi à une réduction des nuisances subies par la population sans les reporter vers d'autres territoires.