Invitée de Nice-Matin dans leur émission « L’interview à la Une ! », je vous propose de découvrir ou de redécouvrir ces échanges qui m'ont permis d’évoquer la situation politique complexe que traverse notre pays depuis la dissolution, de partager ma vision à un moment où l’intérêt général exige de restaurer de la stabilité et de doter la France d’un budget.
Je suis également revenue sur les enjeux internationaux en Ukraine comme au proche-Orient, ainsi que sur mon action de parlementaire, tant au plan national que local, avec notamment, l’inauguration vendredi dernier de la deuxième tranche de modernisation du Centre Hospitalier de Grasse.
Heureuse de revenir ce matin au Centre Hospitalier de Grasse aux côtés de Jérôme Viaud, Maire de Grasse, du Sous-Préfet, Jean-Claude Geney, du directeur départemental de l’ARS, Romain Alexandre, de Pierre Aschieri, Raymond Albis et Pierre Bornet, Maires de Mouans-Sartoux, de la Roquette-sur-Siagne et de Cabris, d’Erika Cassan, directrice de l’établissement et de Frédéric Colomb, Président de la CME, dans un moment majeur pour notre bassin de vie, avec l’inauguration de la toute nouvelle aile de l’hôpital, qui abrite désormais des blocs opératoires de dernière génération, après la transformation complète du service des « Urgences » il y a quelques mois.
Nous avons réussi à obtenir 10 millions d’euros d’aides de l’État pour faire aboutir ce projet vital de modernisation de l'hôpital de Grasse.
Grâce au combat que nous menons avec Jérôme Viaud depuis de nombreuses années pour faire aboutir ce projet vital de modernisation, nous avons réussi à obtenir 10 millions d’euros d’aides de l’État dont 3 millions récemment à la suite de notre intervention auprès de l’ancien ministre de la Santé, Yannick Neuder que je veux remercier à nouveau.
C’est une grande satisfaction pour notre territoire, que nous partageons aujourd’hui avec l’ensemble des agents hospitaliers et des soignants qui exercent leur métier avec professionnalisme et dévouement, mais aussi avec les 200.000 patients accueillis ici chaque année, qui pourront bénéficier de conditions d’accueil et de prise en charge encore améliorées.
À la suite de la formation du nouveau gouvernement conduit par Sébastien Lecornu, je tiens à réaffirmer la priorité qui a toujours été la mienne : faire primer l’intérêt général sur toute autre considération.
Je rejoins ainsi la très grande majorité des Députés « Les Républicains », qui sont en première ligne à l’Assemblée nationale et qui se sont prononcés pour le soutien et la participation au gouvernement.
C’est un choix de cohérence, car la situation n’a pas changé depuis la dissolution de juin 2024.
Nous avons pris part aux gouvernements de Michel Barnier et de François Bayrou.
Nous avons ensuite décidé de participer au premier gouvernement de Sébastien Lecornu sur la base d’une feuille de route claire et qui n’a pas été modifiée depuis le 5 octobre.
Il est donc logique de continuer au sein de ce gouvernement « technique » qui, de surcroît, ne compte plus en son sein les ministres qui posaient problème au président des Républicains.
Le choix des députés, c’est aussi un choix de responsabilité.
La chute du gouvernement Barnier a eu un cout de 12 milliards pour les Français. Une nouvelle censure ne permettrait pas à la France d’avoir un budget avant la fin de l’année et elle coûterait au moins 11 milliards de plus.
A travers ce Journal de « Votre Députée », j’ai souhaité retracer les grandes lignes de mon action de parlementaire.
Vous y trouverez un aperçu de mon travail législatif à l’Assemblée nationale ainsi que de ma présence constante sur le terrain, aux côtés des élus locaux, des associations et des forces vives de notre territoire.
À l’Assemblée : défendre et proposer
Revalorisation immédiate de toutes les petites pensions de retraite.
Accroissement du soutien en faveur des Maisons de retraite et du maintien à domicile de nos ainés.
Durcissement des conditions d’accès à la nationalité française à Mayotte.
Renforcement des moyens des forces de l’ordre face au narcotrafic.
Inscription des Frères musulmans sur la liste européenne des organisations terroristes.
Sur le terrain : écoute et proximité
Soutien au Centre Hospitalier de Grasse.
Protection du canal de la Siagne sans pénaliser les riverains.
Défense de nos entreprises et de notre tissu économique local.
Obtention de l'appui de plusieurs ministres sur des dossiers à grands enjeux pour notre territoire et ses habitants.
Réformes législatives, combats pour la sécurité, notre souveraineté, la maîtrise de l’immigration, défense de nos entreprises et de nos services publics : chaque page traduit l’exigence d’un mandat exercé avec détermination et responsabilité.
Cette publication est aussi l’occasion de revenir sur les combats que je mène pour défendre nos valeurs, porter la voix de notre magnifique circonscription et répondre aux préoccupations concrètes de ses habitants.
Michèle TABAROT, Députée des Alpes-Maritimes, est intervenue à l’Assemblée nationale pour réaffirmer la position du groupe « Droite républicaine » lors du débat consacré à la situation au Proche et Moyen-Orient.
Israël a le droit de protéger son peuple
Israël a le droit de protéger son peuple dans ce conflit face au régime de Téhéran, dont les leaders appellent à sa destruction et cherchent à se doter de l’arme nucléaire. Israël et les États-Unis n’ont pas déclenché cette guerre. Ils agissent pour empêcher l’Iran de la gagner.
Pas d'impunité pour le terrorisme d'État iranien
Le terrorisme d’État iranien ne peut pas rester impuni. Depuis 1979, ce pays exporte sa haine de l’Occident et le fanatisme religieux. Il finance le Hezbollah, le Hamas, … et a commandité des attentats sur tous les continents. Ce régime a aussi du sang français sur les mains.
La haine d'Israël derrière un pacifisme de façade
Ceux ici, qui soutiennent cette République islamique derrière un pacifisme de façade sont, en réalité, animés par une profonde haine d’Israël. Ils cautionnent un régime qui assassine son peuple, simplement parce qu’il aspire à vivre libre, sans asservissement des femmes.
L'antisémitisme en France est un fléau
La trêve entre Israël et l’Iran reste fragile. Nous devons veiller à la sécurité de nos ressortissants dans la région. Nous appelons aussi à la vigilance pour que ce conflit ne vienne pas alimenter davantage l’antisémitisme en France. Il faut lutter, sans relâche, contre ce fléau.
Empêcher l'Iran d’accéder à l'arme nucléaire
L’objectif prioritaire est clair : empêcher l’Iran d’accéder à l’arme nucléaire. Il ne faut plus aucune ambiguïté, et les négociations devront porter sur ses capacités militaires, son soutien au terrorisme, et la politique d’influence agressive que ce pays mène dans la région.