Il y a quatre ans, la ville de Nice a été profondément marquée par un attentat d’une violence inouïe, perpétré en plein cœur de la basilique Notre-Dame. Ce jour-là, trois innocents, Nadine, Simone et Vincent, ont été brutalement assassinés par un terroriste islamiste, un étranger déterminé à frapper la France en attaquant ses citoyens et ses symboles.

Face à la menace terroriste, ne relâchons jamais notre vigilance et restons ferme sur la défense de nos valeurs et de notre civilisation. @MTabarot sur

Cet acte de barbarie, qui s’inscrit dans une série d’attaques tragiques ayant touché le pays, continue de nous rappeler la gravité de la menace terroriste à laquelle nous faisons face. La mémoire des victimes de cet attentat doit non seulement être honorée, mais elle doit aussi renforcer notre détermination collective à défendre nos valeurs et notre civilisation.

Dans ce contexte, il est essentiel de rester vigilant et de ne jamais baisser la garde. La protection de nos libertés, de notre sécurité et de nos principes repose sur une fermeté inébranlable face à ceux qui cherchent à répandre la terreur.

C’était le 5 juin 2024 – il y a moins de cinq mois. Éric Ciotti et Michèle Tabarot, tout sourire, posaient aux côtés de François-Xavier Bellamy qui achevait au Cannet sa campagne pour les Européennes. Une semaine plus tard, Ciotti s’alliait au Rassemblement national. Et le parti gaulliste vacillait.

Au cours de cette période, la députée maralpine s’est battue sur tous les fronts. Réélue en juillet au Palais-Bourbon, bombardée à la questure, elle s’est investie pour assurer la survie des Républicains. Aujourd’hui, elle est au cœur du réacteur. Décidée à redonner du souffle à la formation qui a donné quatre Présidents à la France.

Vous avez intégré, la semaine dernière, la direction collégiale intérimaire des Républicains. Quel est votre rôle ?

Avec Annie Genevard, François-Xavier Bellamy et Daniel Fasquelle, nous allons assurer le fonctionnement et l’animation du parti jusqu’aux élections internes qui nous permettront de choisir notre futur Président.

Il y a 41 ans, le 23 octobre 1983, 58 soldats parachutistes français étaient assassinés dans l'attentat du poste Drakkar alors qu’ils étaient déployés au Liban pour maintenir la paix. Pensées émues pour ces héros et leurs familles qui portent toujours le poids de cette tragédie.

Un an après l’assassinat barbare de Dominique Bernard dans son lycée d’Arras par un individu radicalisé, mes pensées vont à sa famille et à ses proches, meurtris par ce drame insoutenable.

Comme Samuel Paty trois ans avant lui, ces deux professeurs ont été pris pour cible pour avoir suivi leur vocation avec fidélité, en refusant jusqu’au bout de se soumettre à l'entrisme islamiste qui gangrène nos écoles.

Aujourd’hui, notre nation honore avec respect et gratitude la mémoire de Dominique Bernard et son engagement pour défendre les valeurs de la France contre l’obscurantisme et le totalitarisme religieux.

Face aux pressions et aux menaces, nos chefs d’établissement et nos enseignants, qui sont aux avant-postes sur le terrain, doivent être davantage soutenus et mieux protégés.

Il me tenait particulièrement à cœur de revenir en Israël un an après ces massacres de masse perpétrés par les terroristes islamistes du Hamas contre le peuple juif et la seule démocratie au Proche-Orient.

Mes premières pensées vont aux victimes, à leurs famille meurtries et aux otages toujours détenus dans des conditions abominables dans la bande de Gaza.